[1459 - Sept] Ouverture du campement de noblesse

L'immense champ sous les murailles de la Forteresse du Lavardin avait été cloturé, une fois de plus, comme chaque anéne maintenant, puis ré-amenagé afin que les nombreux nobles et leurs mesnies autres que leurs amis proches et invités notoires par la présséance du Duc du Lavardin, Toujours Pair de France en sus que d'être le Duc de Touraine actuel, puissent se mettre à l'aise en y plantant tentes et autres mobiliers pour leur confort sans pour cela devoir se tasser.. Oh bien sur il avait abandonné ces charges royales depuis l'abdication du Roy Levan et la mise en place des élections royales qu'il désapprouvait totalement, une étiquette de plus à porter, lourdement sur des épaules déjà chargés par des temps aussi lourdement chargées d'odeurs de sang et d'acier, les autres charges ne lui servaient maintenant que de souvenirs

Sur deux des cotés, avait été disposé, des tentes de gardes aux couleurs du seigneur des Lieux, les Cygnes affrontés rassurant sur la qualité et l'Hospitalité des lieux et ce afin que Paix et confiance puisse être de mise à l'interieur de l'enclos de noblesse.

Les gardes veillaient à la bonne marche et à la bonne ambiance, c'était devenu une habitude, une reconnaissance même pour ces gardes d'être désignés à la sécurité des lieux, c'est qu'ils étaient fier et heureux ceux qui aidant et conduisant la mesnie d'un noble à son emplacement, qui refusant poliment mais surement l'entrée aux individus sans foi ni maitre. Ils étaient suffisamment nombreux pour que le camp soit sur et que pour toute interventiosn se fassent rapidement en cas de soucis, problèmes ou rixes. Les années précédentes ayant eu leur lot d'événements suffisamment marquant pour que le dispostif soit cette année encore bien fourni.

Un renforcement encore plus évident au vu de la conjonture actuelle. Certes la St Michel était période de trêves et c'est aussi une raison pour laquelle elle est dûment festoyer au Lavardin, mais cela n'empechait pas la prudence. Certains nobles étaient ennemis de longue date et le fait qu'ils soient assez proches, bien que disposés de façon à ce les feux ne prennent pas ne devait être traité à la légère, la guerre elle n'arrangeait rien par dessus tout.

De longue date le Lavardin avait obtenu la réputation d'un lieu hospitalier ou les règles même de l'Hospitalités éaient tenues fermement et courtoisement, et ceux bien avant même le séjour hivernal du Roy de France il y avait quelques anénes maintenant. Le Duc du Lavardin voulait que la St Michel et les festivités attenantes soit un moment de calme et de sérénité. Un moment où les ennemis de toujours puissent oublier leurs griefs entre deux plats et quelques godets.

C'est ainsi qu'on avait vu par le passer le Duc du Berry et celui de Touraine, pourtant en pleine crise à l'époque faire compaing le temps du banquet. Ils avaient pu discuter sans coup férir, se confronter sans se heurter, discourir sans vociférer. C 'est ainsi espérait le Cygne que d'autres événements de même accabit se produirait encore pour le bien du Royaume.

Pour les gens de moins haute extraction, du commun, mais participants aux festivités, à moins qu'ils ne fussent invités par un noble et dans ce cas accédant au clos avec icelui, il fut amenagé un camp proche de même accabit avec le même serieux et la même sincerité dans l'accueil.

C'est plutôt dans une ambiance bonne enfant, du moins en apparence car sousjacent on sentait bien le sérieux de la situation, que les premiers nobles jouteurs et festoyeurs s'en arriverent au Lavardin.

A tous, il fut dit : Bienvenue au castel Lavardin !

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