Castel Lavardin
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Le domaine du Lavardin en Vendomois, Uchronie des Royaumes Renaissants (1451 - ?)
 
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 [A Valider] Sainct Avertin

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LLyr di Maggio
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LLyr di Maggio


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MessageSujet: [A Valider] Sainct Avertin   [A Valider] Sainct Avertin Icon_minitimeLun 31 Déc - 15:37

Saint-Avertin

Généralités historiques
Anciennement Vençay.
Doit son nom à Avertin ou Aberdeen, moine écossais venu en France avec saint Thomas Becket.
Le fief de Cangé appartint à Jean de Coningham, capitaine de la garde écossaise de Louis XI.
Le manoir de Grand'Cour appartint à Jules Romains qui y écrivit "les Hommes de bonne volonté".
Patrie possible de l'imprimeur Christophe Plantin (1514-1589), né "près de Tours".

Vestiges préhistoriques et antiques
Sarcophages de l'Ecorcheveau (haut Moyen Age).

Architecture civile
Château de Cangé* 15ème/16ème, remanié 19ème : logis rectangulaire, 4 tours circulaires, ailes en équerre (en péril).
Château de La Camusière* 19ème.
Clos du Bois-Rayer* 18ème/19ème (IMH) : maison d'habitation et petit logis.
Ruines du château de Paradis* 16ème (IMH) et manoir 17ème.
Manoir de La Grande-Cour* 18ème/19ème : manoir et portail d'entrée, orangerie (IMH) ; porte et guichet à frontons triangulaires 17ème.
Manoir de La Sagerie* 17ème (IMH) : logis à 2 pavillons, porte armoriée.
Manoir de La Singerie, dit La Cigogne* 17ème (IMH) : logis flanqué de 2 ailes, servitudes, parc.
Manoir du Portail (au sud de la commune) 17ème : tourelles 15ème.

Architecture sacrée
Eglise Saint-Avertin : nef 12ème restaurée, ch?ur à chevet plat et chapelles latérales 15ème.

Avertin (St-), commune du canton de
Tours-sud, arrondissement de Tours, située sur
les bords du Cher, à 6 kilomètres de Tours.
Venciacum, 930 (charte de Hugues, abbé de
Saint-Martin). Ventiacus super Carim, locus
de Venciaco, 987 (charte de Thibault, comte de
Blois). Venciacum, Venceiurn, Vcnciacus
villa, ecclesia Venciaci, xir3 siècle (charte de
Gislebert, archovêquo do Tours; Missale B. Martini,
195). Venlcaium, 1190 (Liber composit).
Vencayum, 127G (charte de Pierre, doyen
de Saint-Martin). Ventayum, xnr* siècle
(Défense des privilèges de Saint-Martin, instrwn.
39). Vancay, 1314 (Cartulairo de l'archevêché
da Tours). Saint-Avertin, 1371 (Ordonnance
de Jean de la Thuille, bailli de Touraine).
Vancay, ou Vansay, 1793. Saint-Avertin,
carte de Cassini.
Elle est bornée, au nord, par la commune de
Saint-Pierre-des-Corps; à l'est, par celle de Larçay;
au sud, par Chambray à l'ouest, par Joué
ot Tours. Elle est traversée par la route nationale
n° 76, de Tours à Nevers. Le Cher, qui l'arrose
de Test à l'ouest, faisait mouvoir un moulin
situé près du bourg, et que l'on trouve mentionné
daus uue charte do 1301. Ce moulin appartenait
à la collégiale de Saint-Martin. Vendu
nationalomont en 1791, il a été détruit il y a une
quarantaine d'années.
Cette commune fournit des vins très-estimés.
On y exploite des carrières de pierres.
Eu dépendent les lieux, hameaux et villages
de La Vacherie (12 habit.) La Fuye (17 habit.),
ancienne propriété du Chapitre de Saint-
Martin. Boauregard (t3 hahjt.). Cangô, ch.
et f. (41 habit.), ancienne châtellenie relevant de
Larçay. La Babinière (56 habit.), ancienne
propriété du Chapitre de Saint-Martin. Grandmont
(autrefois Bois-Rahier), ancien prieuré.
Bouteville (27 habit.). La Sagerie (25 habit.).
Les Fontaines (63 habit.). La Petite-Alouette
(12 habit.). La Singerie (33 habit.). Le
Puits-Ferrand (t2 habit.), ancienne propriété du
Chapitre de Saint-Martin; elle dépendait de la
chapelle des Essarts. Les Soldés (19 habit.).
La Morellerie (Ni habit.). Les Essarts, ancien
fief, appartenant au Chapitre de Saint-Martin,
et dépendant de la chapelle des Essarts.
La Roche, ch. et f., ancienne propriété du Chapitre
de Saint-Martin, connue dès le xme siècle.
Pontlong, ancien fief, relevant de l'archevêché
de Tours et connu dès le xme siècle (Longus
pans de Vencaio). La Rabaterie, ancienne
propriété du Chapilro do Saint-Martin. Les
Brûlés (11 habit.). Le Chesneau, ancienne
propriété des Pères de l'Oratoire. L'Archerie
(18 habit.). La Fosse-Noire (17 habit.). Le
Placier (37 habit.). Les Arènes, ancienne propriélé
de Saint-Martin de Tours. Les Granges-
Galand, ancienne propriété des Ursulines do
Tours. – Saint-Michel, chapelle connue dès le
xn* siècle. Les Minimes (14 habit.). L'Aubinière
(35 habit.). Le Puits-Coeslier (17 habit.),
ancienne propriété du prieuré de Saint-Côme, et
ensuite de la fabrique de Saint-Pierre-du-Boile
de Tours. Les Verreries (22 habit.), Verrières,
au xiii' siècle. Les Héraults (27 habit.). – La
Pinterio (Cl habit.), ancienne propriété du Chapitre
de Saint-Martin, connue dès le xne siècle.
Le Puits-qui-Fume (18 habit.). Le Portail
(20 habit.), ancien fief, relevant de Montbazon.
Les Claies (17 habit.). La Bellerie (26 habit.),
ancienne propriété du Chapitre de Saint-
Martin. Le Fourneau (15 habit.). Châteauneuf
(13 habit.). La Chabottière (17 habit.). –
Château-Fraisier, connu dès le un' siècle. La
Camusière (20 habit.). La Chalonnière (26 habit.).
Loiselette (27 habit.) La Bemardière,
ancienne propriété des Jacobins do Tours.
L'Ormeau (20 habit.). Bois-Chantro (14 habit.),
ancien fief qui a appartenu au Chapitre de Saint-
Martin de Tours. Les fermes des Pierres-Plates,
de la Saboterie, de Maltrait, de Roidemont, etc.
Avant la Révolution, la paroisse do Saint-Avertin
so trouvait dans le ressort de l'élection do
Tours et était le siège d'un doyennéqui so composait
dos paroisses $e Saint-Avertin, do Larçay,
de Véretz, d'Azay-sur-Cher, de Chambray, de
Joué, de Ballan, de Miré et de Saint-Jean-de-
Beaumont-les-Tours. Elle faisait partie du grand
archidiaconné et de l'archiprêtrô de Tours. En
1793, elle dépendait du district de Tours.
Superficie cadastrale. 1006 hectares.
Le plan cadastral a été drossé de 1807 à 1811, par
Leeoy-Lamarche.
AVE AVE
Populatio n. 1212 habit, en 1801. 12CT
habit, en t8OC. 1203 habit. en 1808. 12o7
habit, en 1810. 1 290 habit. en 183J. 1307
habit. en 1841. 135V habit, eu 1851. 1511
habit. en 18B1. IG04 habit. eu 1872. 1700
habit, en 1877.
Assemhlées pour location de domestiques le
premier dimanche d'avril.
Bureau de poste. Perception de Véretz.
L'origine do Saint-Avertin, connu d'abord
sous le nom de Vençay, comme on l'a vu plus
haut, parait fort ancienne. Le séjour des romains
dans cette contrée est attesté par des restes de
constructions de leur époque et par la découverte
d'un assez grand nombre do monnaies. Sur
son territoire passait un aqueduc d'origine galloromaine
d'une longueur de trente kilomètres environ,
et qui venant du vallon des Grandes-Fontaines
par Larçay, Véretz, Azay-sur-Cher, Fontenay,
etc., conduisait l'eau jusqu'à Tours. On na
.connaît pas la date précise do fondation de
l'église primitive, qui était placée sous le vocable
de saiut Pierre. Au ix° siècle, la partie du territoire
où elle se trouvait appartenait à l'abbaye de
Saint-Martin de Tours, qui en fut dépouillée lors
de l'invasion des Normands. En 930, Hugues,
abbé de Saint-Martin, restitua aux religieiîx une
partie des biens qui leur avaient été enlevés, et
parmi lesquels figuraient Vençay, Joué et Bcrthenay.
Soixante ans après, Thibault, comte de
Blois, leur donna les coutumes et usages qu'ils
avaient sur ces domaines. Cependant, malgré cette
donation, ils ne possédaient pas encore tous les
droits féodaux de la paroisse. Nous voyons, en
effet, par une charte du commencement du
xii" siècle, que la viguerio de l'église était la
propriété de l'archevêché de Tours. L'archevêque
Gislebert s'en dessaisit en 1119, en faveur du
même monastère.
Ce fut dans ce même siècle qu'eut lieu à Veuçay,
la construction d'un pont, par l'ordre do
Henri, roi d'Angleterre et comle de Touraine.
Cette construction fut faite vers 1102.
Dans le même temps, un saint personnage
écossais, Avertin qui devait attacher plus tard
son nom à la localité dont nous nous occupons,
vint à Tours à t'occasi in d'un concile que le pape
Alexandre III avait convoqué dans cette ville,
pour le 10 mai 1103. Il accompagnait, en qualité
do diacre, Thomas Becket, archevêque de Cantorbéry.
Après la clôture du concile, il retourna en
Angleterre avec ce prélat, près duquel il resta
jusqu'au jour où celui-ci, martyr de la religion,
périt assassiné par les gens du roi d'Angleterre
(29 décembre 1170).
A la suite de cette catastrophe, Avertin quitta
sa patrie avec l'intention d'aller s'établir près de
Vençay, dans un ermitage où il passerait le reste
do sos jours. Il se retira dans los bois de Cangé.
Mais bientôt, cédant aux sollicitatiuns des habitants
du pays qui, édifiés par ses vertus, le pres- înumeremia
saient de venir habiter au milieu d'eux, il abandonna
sa solitude et se fixa dans le bourg, où il
remplit les fonctions curiales pendant huit ans
environ. Il mourut en 1180 et fut enterré dans
l'église. On l'honora comme saint et son tombeau
devint lo but de nombreux pèlerinages, qui
avaient lieu principalement le mardi de Pâques
et le 5 mai.
D'après M. Mabille (Notice sur lis divisions
territoriales de l'ancienne province de Totcraine,
page 49-189], l'ég'liaa paroissiale dédiée à
saint Pierre aurait été abandonnée au xne siècle,
et un nouvel édifice aurait été élevé sous le vocablo
do saint Avertin. Nous ne trouvons aucun
litre qui justifie cette assertion.
La nef dé l'église actuelle pirait être du xi"
siècle. La reste de l'édifice a élé cunstruit vers
1490, par Jean do Coningham, seigneur do Cangé,
gentilhomme d'origine écossaise, qui avait acheté
cette terre au prix de 37,400 livres, par acte du
4 juin 1489, de Pierre de Montmorin et de N. de
Saint-Nectaire.
On ne sait rien de bien positif au sujet do la
substitution du vocable de saint Avertin à celui
de saint Pierre et jusqu'ici nous n'avons pu découvrir.
un acte émanant de l'autorité ecclésiastique,
qui l'ait directement et officiellement
autorisée. Selon toute probabilité elle est née
uniquement du sentiment général de la population
qui, sans cependant répudier le premier vocable,
voulait rendre un hommage tout spécial
à la mémoire d'un saint homme qu'elle avait
connu, et dont elle avait pu apprécier par ellemême
les hautes vertus et les pieux exemples.
Pou à peu, habitants du pays et pèlerins, prirent
l'habitude de désigner l'église sous le seul nom
du nouveau saint, et le temps finit par consacrer
cet usage. On pourrait citer uu assez grand
nombre d'églises de France ou dessubstitutions
du même genre se sont produites dans des circonstances
absolument identiques. En Touraiue,
nous avons la paroisse Saint-Antoine-du-Rocher,
qui autrefois était sous le vocable de saint Pierre.
Bien que le nom de Saint-Avertin fût donné à
l'église de cette paroisse, on continua pendant
longtemps encore à se servir du nom de Venciacum
ou Vençay, pour indiquer le bourg. Au
xiu* siècle seulement nous voyons apparaître les
expressions de parochia Sancti-Avertini, dans
une pièce émanant de l'autorité religieuse. Le
premier document de l'administration civile, où
l'on emploie le nom de Saint-Avertin, pour désigner
la localité, est un jugement de Jehan de la
Thuille, bailli de Touraine, du 13 janvier 1371,
concédant au Chapitre de Saint-Martin le droit
d'avoir un bac sur le Cher, afin de remplacer le
pont de Saint-Avertin' que l'^n a™>* détruit
pour empêcher les Anglais d'approcher de Ja ville
de Tours de ce côté. Au xv. siècle, encore, le nom
de Vençay n'était pas complétement disparu. On
le rencontre en effet, à cette époque, indifférem-
40
AVE AVI
ment employé avec celui de Saint-Avertin dans
un grand nombre de titres provenant de la prévôté
de la Varenne. La Révolution, qui proscrivait
les saints, a tenté, on 1793, de faire revivro
l'ancienne appellation, mais elle n'a pas réussi.
Le présentateur au titre curial était le prévôt de
la Varenne, dignitaire de la collégiale de Saint-
Martin de Tours.
En 1751, le revenu de la cure était do 711
livres.
11 y avait, dans cette paroisse, une chapelle
dédiée à sainte Marie-Madeleine, et que nous
trouvons mentionnée dans un acte du xi" siècle.
Il n'en existe aucune trace aujourd'hui.
Une autre chapelle était placée sous le vocable
de saint Michel. La collégiale de Saint-Martin en
était propriétaire. Elle est citée dans une charte
du ni" siècle capella Sa/rcti Michaelis prope
Vancaium, et dans un document de t455 capella
S. Michaelis secus Vencayum. Le prévôt
de la Varenne nommait le chapelain. Jehan Galleron,
titulaire du bénéfice en 1450, eut pour successeur
Jehan Le Brun. On.trouve, en 1707, N.
Gauthier, chanoine, qualifié de chapelain de
Saint-Michel. N. Auger, chanoine de Saint-Martin
de Tours, fut le dernier chapelaiu (1789).
Il existe dans le bourg de Saint-Avertin une
petite chapelle appelée Notre-Dame-des-Noyés.
Cette construction tombe en ruines. Nous ignorons
l'époque de sa fondation. On y dépose,
en attendant leur inhumation, les corps des malheureux
que l'on trouve noyés dans le Cher.
Quatre autres chapelles, situées à Cangé, au
Portail, à la Singerio et au Chesneau, propriétés
dépendant de la paroisse de Saint-Avertin, sont
mentionnées dans le Registre des visites des
chapelles domestiques du diocèse de Tours en
1787. Celle du Chesneau appartenait aux Pères
de l'Oratoire. 11 n'en reste aucune trace aujourd'hui.
A Grandmont, qui dépend de Saint-Avertin,
il y a une chapelle de fondation moderne.
CURÉS DE Saint-Avertin. Saint Avortin,
mort en 1180. Moreau, 1815-22. Gaudin,
1622-30. Tauclin, 1630-38. J. Fougère,
1638-71. Raymon, 1671-1722. Delafosso,
1722-43. Thiou, 1743-76.– Deslandes, 167<i-
91. Cartier, 1791. A partir de décombro 1792,
il a, dans les registres, la qualification d'officier
public. Nivet, 1803-1824. Le Voyer Duboulay,
1824-27. – Daunay, 1827-42.– Huré, 1842-46.
– Beulé, 181G-1847. Sureau, 1848-61. Chehère,
1861-73. Atlegret, nommé en novembre
1873, actuellement en fonctions (1877).
Le fief de Saint-Avertin appartenait aux chanoines
de Saint-Martin de Tours, au nom desquels
la justice était rendue dans cette localité.
Il y avait un autre fiuf, appelé mairie de Venmy
(majoria de Venceio, xn" siècle], qui relevait
da prévôt de la Varenne. D'abord propriété
de la collégiale de Saint-Martin de Tours, il passa,
à une époque quo l'on ne saurait précisément déterminer,
en des mains laïques. En 1284, Mathieu
do Saint-Venant était mairo de Vençay.
Au commencement du xv* siècle, la collégiale,
rentrée en possession du fief, par acte capitulaire
du 2 mars 1423, le réunit à la prévôté de la Varenne.
Saint-Avertin se trouva mêlé aux troubles religieux
du xvi° siècle. On y comptait un assez
grand nombre de protestants qui entretenaient
l'agitation dans la contrée, sans cependant y
commettre des désordres graves. Par lettres patentes
du 7 avril 1562, le bourg fut désigné
comme le seul lieu où les Huguenots du hailliage
de Tours pourraient librement exercer leur culte.
Un grand acte do générosité, accompli de nos
jours en faveur de la commune de Saint-Avertin,
doit trouver place dans cette notice.
Au mois de juillet 1845, la famille de Richemont,
propriétaire du château de Cangé, a donné
à la commune une somme de 115,000 francs,
destinée à la création d'une école de Frères, pour
les gardons, et d'une école de filles qui serait dirigée
par des religieuses.
Christophe Plantin, célèbre imprimeur, décédé
à Anvers le 2 juillet 1589, était né à Saint-Avertin
en'1514.
MAIRESDE Saint-Avrrtin. Rillault, 1800, –
Cbollière, 1801, démissionnaire en 1807. Duplessis,
nommé le 3 février 1807. Baugé,
1" avril 1811. Mathieu de Rodde, 14 décembre
1812. Danet, 1818, – Viot-Prudhomme, 15 janvier
1819. Lohouï, 1830. Jean-Paul Lecompte,
1831. Georges-Alexis Mocquery,
28 mai 1837, 6 juillet 1846. Paul Panon Desbassayns,
baron de Richemont, député d'Indreet-
Loire, membre du Conseil général, 1847.
Dumaine, 1870. Maurice Collier, 1871,-13 février
1874, 8 octobre 1876.
Arch.d'I.-et-L.,8 G, prévôté de laVarenne et Biens nationaux.
– D.Hous., I, 160, 246,248; IV, 1387 VII,3289
VIII, 3687. Bibl. de Tours, Missale li. Martini, ms3.
193. Fonds Salmon, titres de Saint-Martin, VI, VIII.
Cartulaire de l'archevêché de^ Tours. Défense des
priviléges de Saint-Martin, instrum. 39. Nobilleau,
Rituale B. Martini, aue. P. Gastineau, 125 Chronicon
Turonense magnum. III. – Ampliss. coïïectio, I, 340.
– E. Mabille, La Pancarte noire de Saint-Martin de
Tours, 451, 452 Notice sur les divisions territoriales de
la Tour., 48, 189, 217. Liber compositionum, 51.
Monsnier, I, OS: Ir, cxlt. Maan, S. et métrop. ecclesia
Tur., 102. Mémoires de Condé, II. Chalmel,Hist.
de Tour., II, 34, 35, 366; IV, 388-90. C. Chevalier,
Promenades pittoresques en Touraine, 198,.169, 283.
J.-J. Bourassé et C. Chevalier,Recherches sur les églises
romanes en Touraine, 20. A. Noël, Souvenirs pittoresques
de la Touraine. Mém. de la Soc. archéol, de
Tour., III, 180, 181 IV, 176; IX, 38<i XIII, 64. – Journal
d'Indre-et-Loire, du 4 aodt 1815. Registres d'étatcivil
de Suiot-Averlin.– A. Joanne, Géographie d'Indreet-
Loire, 94. Notes communiquées par M. l'abbé Allûgret,
curé de Saint-Avertin.
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