Le domaine du Lavardin en Vendomois, Uchronie des Royaumes Renaissants (1451 - ?) |
| | [Duché RR] Azay le Ridel | |
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LLyr di Maggio Maistre de céans
Nombre de messages : 3949 Age : 51 Date d'inscription : 17/12/2007
| Sujet: [Duché RR] Azay le Ridel Mar 12 Jan - 15:51 | |
| HéraldismeFief ducal RR Description du Blason : d'Azur aux trois aigles d'or . Ancien nom : Azay le brulé, Azay le rideau Devise : - Actuel Seigneur : Barbe_Noir Ancien Seigneur : Zygomar Nom des habitants : Seigneuries historiques : - Gerfaut (à Azay)
- Javesnon (à Azay)
- La Rémonière, (à Azay)
- Goupillières ou Les Caves-Brunes, (à Azay)
- Meschinières, (à Azay)
Seigneuries RR octroyées : Généralités historiques- Origine gallo-romaine d'"Aziacus", mentionné au 10ème ; "Azaium Ridelli" (1225) appartint au chevalier-banneret Ridel d'Azay, qui lui laissa son nom.
- En 1417, Jean sans Peur y installa une garnison bourguignonne qui, en 1418, insulta le dauphin, futur Charles VII, se rendant de Chinon à Tours.
- La répression fut sanglante : toute la garnison fut exécutée et le village fut incendié, ce qui lui valut jusqu'au 16ème le surnom d'Azay-le-Brûlé.
- En 1518, le financier Gilles Berthelot et sa femme Philippe Lesbahy firent construire un luxueux château, témoin de leur réussite ; ils durent partir en exil pour Cambrai, à la suite de la disgrâce et de la pendaison de leur cousin Jacques de Beaune-Semblançay ; le château appartient à l'Etat depuis 1905.
Au Moyen-Age, les seigneurs de Tours édifient un château sur une île au milieu de l'Indre pour protéger le passage de la route menant de Tours à Chinon. Après sa défaite à Saint-Martin-le-Beau (Indre-et-Loire) contre le comte d'Anjou Geoffroi Martel en 1044, le comte de Blois Thibaut III se voit contraint de céder la Touraine, dont fait partie la seigneurie d'Azay, à son vainqueur. Un château existe à Azay-le-Rideau vers la fin du XIe siècle ou au début du XIIe. En 1119, le seigneur Ridel d'Azay donne à la ville son nom d'Azay le Rideau. Le premier édifice connaît sans doute de nombreux aménagements durant la période médiévale, mais est rasé de fond en comble par le dauphin Charles (futur Charles VII) en 1418. La garnison bourguignonne qui l'a insulté - elle aurait mis en doute la validité de ses origines royales - est passée au fil de l'épée (350 hommes). La ville est aussitôt dévastée. Le site conservera jusqu'au cœur du XVIIIe siècle le nom d'Azay-le-Brûlé.
C'est à la fin du XVème siècle que Martin Berthelot, maître de la Chambre aux deniers du roi, achète le château et le lègue à son fils Gilles à sa mort. Avant la bataille de Marignan (1515), Gilles Berthelot hérite de cette demeure fortifiée. Berthelot entreprend une carrière florissante dans la Finance, il est Général des finances du royaume puis devient Trésorier de France. Il est ami du baron de Semblançay, lui-même Gouverneur général des finances. Ces personnages puissants de la place tourangelle sont missionnés pour remplir les coffres de l'Etat. Son nouveau château reflète donc son éblouissante ascension sociale, et c'est avec sa femme Philippe Lesbahy qu'ils restaurent l'édifice dans le style actuel qu'est la Renaissance.
Quelques familles tourangelles se sont enrichies en prêtant de l'argent à la couronne, alors que François Ier est emprisonné en Espagne,sa mère Louise de Savoie cherche l'argent qui servira à payer la rançon demandée pour libérer son fils.
Dès son retour en France François Ier accuse Semblançay de malversations. Semblançay s'enfuit, arreté, il est condamné et pendu en 1527. Berthelot prend peur et s'enfuit à Metz, en 1528 ses biens sont confisqués par François Ier. Un an après il meurt à Cambrai où il s'est réfugié laissant à son épouse un domaine architectural inachevé.
Pendant plusieurs annèes, Philippe Lesbahy se bat pour conserver le château mais en vain, elle le perd définitivement en 1535 au profit d'Antoine Raffin, un compagnon d'armes du roi.
Le château restera dans la même famille jusqu'à la Révolution.
En 1791, il est acheté par le marquis Charles de Biencourt. Les marquis de Biencourt redonnent sur plusieurs générations son lustre au château. Ils feront supprimer les derniers vestiges du Moyen Age et créent le grand parc romantique.
Après le Second Empire, le dernier marquis, ruiné, doit vendre les terres et le mobilier.
L' Etat le rachète en 1905 et en devient propriétaire..
Liste des différents propriétaire du châteaux:
- Comte Eudes 1er (IX Ème)
- Thibault II
- Eudes II
- Thibault III
- Geoffroy Martel (1044)
- le seigneur Ridel d'Azay (1119)
- Charles VII (1160)
- Foulques de Boijourdain (1464)
- Martin Berthelot fin 15 éme
Vestiges préhistoriques et antiques- Cachette du Bronze.
- Vestiges des villas gallo-romaines de La Rémonière et de Mazères.
Architecture civile- Château** 1518 à 1529 (MH), joyau de la Renaissance à réminiscences gothiques : logis rectangulaire, aile en équerre, élégantes tourelles en encorbellement, tour circulaire 19ème, chemin de ronde sur mâchicoulis ornés, lucarnes sculptées, fenêtres à meneaux, larges douves ; escalier d'honneur à rampes droites ; mobilier et tapisseries 16ème ; parc à l'anglaise* (MH) ; communs 17ème (MH) ; chapelle ogivale 1603, restaurée.
- Château de La Chatonnière* 16ème Renaissance (IMH) : logis à 2 pavillons inégaux, tour d'escalier polygonale, tour et tourelle d'escalier circulaires ; chapelle ogivale ; communs 16ème flanqués de tours d'angle circulaires ; jardins en terrasses.
- Manoirs du Val d'Aunay* 16ème (IMH) (tourelles d'angle en encorbellement) et de Bécheron 16ème/17ème.
- Château de La Rémonière 15ème, remanié ; parc (château-hôtel).
- Château de Mazères, néo-classique 19ème.
- Château du Gerfault 1909.
- Manoir de La Grande-Loge fin 16ème : tour polygonale, lucarnes à fronton triangulaire, chapelle 18ème.
- Tour circulaire découronnée, reste de l'enceinte urbaine 15ème.
- Maison 15ème à étage en encorbellement (en ville).
Architecture sacrée- Eglise Saint-Symphorien** (MH) : nef majeure 11ème et 13ème à abside semi-circulaire, nef secondaire 12ème et 16ème à abside en cul-de-four 12ème, chapelle seigneuriale 1603, clocher 12ème, double façade à pignons aigus (façade de la nef majeure à décoration carolingienne**).
Liens divers, PhotosSources- quid.fr
- Chateau d'Azay
- Office du Tourisme
- Merci Ljd Barbe_Noir pour les commentaires ajoutés
Nota Bene : * : Notoire - ** : Exceptionnel - IMH : Inscrit Monument Historique - MH : Monument Historique - SI : Site Inscrit - SC : Site Classé[/list]
Dernière édition par LLyr di Maggio le Sam 19 Juin - 10:43, édité 1 fois | |
| | | LLyr di Maggio Maistre de céans
Nombre de messages : 3949 Age : 51 Date d'inscription : 17/12/2007
| Sujet: Re: [Duché RR] Azay le Ridel Jeu 21 Jan - 16:21 | |
| Azay-le-Rideau,
commune, chef-lieu de canton, arrondissement de Chinon, sur les bords de l'Indre, à 25 kilomètres de Tours et à 21 de Chinon. Asiacus, 1020 (Maan, S. et metrop. ecclesia Tur.). Ecclesiola super fluvium Agneris sita, in honore B. Symphoriani martyris dicata. dicitur autem Asiaeus, vers 1030 (Cartul. de Cormery, charte xïxvii). Aziacum, oppidum, 1047 (Monsnior, I). – Azayum, 1119 (charte de Marmoutier).. – Azaiacum, 1143 (charte de Turpenay). Azai, 1174 (Cartul. de Cormery, 130). – Villa de Asaio, 1178 (Liber de semis, LVI). – Aza, 1189 [Calai des actes de Philippe-Auguste, 58). Azayum Ridelli, 1225 (Cartul. de Phiiippe-Auguste). Parochia de Azayo, xm° siècle (Cartul. de l'archevêché de Tours). Villa de Azayo Ridelli, 1338, 1419 (Cartul. de Cormory, 218, 252). Azay-sur-Indre, Azayle- Ilrûlé (dans quelques titres des xv* et xvi" siècles). Elle est bornée, au nord, par les communes do Lignières, de Vallères etde Druyes; à l'ouest, par la commune de Bréhémont; et sur les autres points par Sache et Choillô. EUe est arrosée par l'Indre, qui fait mouvoir les moulins de la Motte, da Luré, de Marnay, de Gharriôre, d'Islette, de Perré, d'Azay, de Launay et le Moulin-Neuf, et par le ruisseau de Lautière qui prend sa source aux Ruines de la Rabinière, passe à la Cave et à la Gougeonnière et se jette dans l'Indre près de la Clousiôre. Deux routes la traversent l'une, n° 1, allant de Loudun à Tours; l'autre, n* 31, allant de Noyant à Sainte-Maure. Azay-le-Ridoau est une station du chemin de fer do Tours à Chinou.
Sont compris dans son territoire les lieux, hameaux et villages de Perré (72 habit.), ancien fief. Le Fourneau (19 habit.). Les Caves (80 habit.). La Brifaudière (30 habit.). Mazères (14 habit.), ancien fief, connu dès 1365. -Aunay (44 Èabit.). Le Vau (10 habit.), ancien fief, relevant de la châtellenie d'Azay-le- Rideau. La Goussardière, ancien fief, relevant du prieuré de Relay. Los Granges (autrefois Grannes-aux-Drelhes), ancien fief. Les Frogeais (13 habit.), ancien fief. Laulée (12 habit.). Gerfaux, ancien fief, relevant de Vauguérin. Les Mechinières, ancien fief, relevant de la Chevriére e.t appartenant au prieuré de Saint- Côme au xv° siècle. La Gasnoraie (13 habit.). La Brtisselière, ancienne propriété du prieuré do Saint-Cômo. La Gougfionnière, ancien fief, relevant de la Rivière. Lautière, ancienno propriété de la Commanderie de Ballan. Lionnière (12 habit.), ancien fief, relevant de la châtelteuie do Villandry. Charrièro (GO habit.). Les Itibottières (48 habit.). Le Port-Iluault (42 habit.). Luré (70 habit.), ancien fief, relevant do Villandry. Les Martinières (II habit.), anciénne propriété du prieuré de Relay. La Chatonoière (12 habit.), ancien fief, relevant de la Rivière et de Villandry. La Motto (8 habit). Les Renaudières (35 habit.). Marnay (48 habit.) est connu dès le xi" siècle, et a été possédé par l'abbaye de Turpenay. La Clousière, ancien fief. La Cave-Feuillet, ancienne propriété du prieuré de Relay. C'est là que se tenaient, au xvne siècle, les assises des fiefs de Relay et de Puy-Gautron. La Loge (14 habit.). Les fermes do la Dalvinière, du Verger, des Lizières, de la Maison-Rouge, de la Cossonuière, de la Touche, etc.
Avant la Révolution, la paroisse d'Azay-le- Rideau était dans le ressort de l'élection de Chinon et était le chef-liou d'un doyenné composé des paroisses d'Azay, Chelllé, Rivaronnes, Bré- Mmont, Lignièros, Vallères, fiertlionay, Saint- Genouph, Villandry, Savonnières, Artannes, Pont-de-Ruan, Sache, Thilouze, Villaines, Druyes. Elle faisait partie du grand-archidiaconné et de l'archiprètré de Tours. En 1793, elle dépendait du district de Chinon. Superficie cadastrale. 2724 hectares. Le plan cadasdral, dressé par Trotignon, géomètre de l'" classe, a été terminé le 15 mars 1814. Population. 1400 habit. en 1139. – 323 feux en 17G2. 1750 habit. on 180t. – 1090 habit, on 180G. – 1551 habit. en 1808. – 1575 habit, en 1810. 1896 habit, en 1831. – 2005 habit. on 1841. 20ii habit. en 1851. – 2073 habit, en 1861. 2108 habit, en 1872. – 2160 habit, en 1877.
Foires les premiers mercredis de janvier, de mars et de mai; le premier mercredi de juillet (par ordouuauce du 20 mai 1838); ot les premiers mercredis do septembre et do novembre. Assemblée povr location de domestiques le premier dimanche après Pâques.
Recette de poste. Chef-lieu de perception. L'existence de l'église, placée sous le vocable de saint Symphorien, est constatée dès les premières années du xi* siècle. Vers 1020 elle appartenait à un noble personnage nommé Geoffroy, fils d'Amalric, du château de l'Ile (Ile-Boueliard), qui la donna au monastère do Cormery, avec tous les droits do sépulture, de dîme et de terrage dont il avait joui jusque-là. Dans la charte qui consacre cette donation on l'appelle ecclesiola, une petite église, et il est dit qu'à peu près abandonnée, elle était devenue un lieu sauvage, un repaire des bêtes fauves. Quelques années après, le don fait par Geoffroy fut ratifié par Gosselin Le Poitoviu, sou héritier.
L'édifice actuel, dont le plan est irrégulier, se compose de deux nefs et d'une chapelle qui a été construite au siècle dernier, pour l'usage des seigneurs d'Azay-le-Rideau. Une de ces nefs parait avoir été élevée au xi" siècle, et a été restaurée dans le siècle suivant. C'est peut-être la petite église dont nous venons de parler, et qui fut donnée par Geoffroy à l'abbaye de Cormery. Les colonnes, les chapiteaux et la voûte de l'abside semblent en effet appartenir au temps où vivait le donateur.
En 1518, deux travées furent ajoutées à l'église, au nord. On prit pour l'emplacement de celte construction, le petit cimetière, entre le clocher et la façade.
Le portail est la partie la plus Intéressante du monument. Il est orné de deux rangées de sta- > tues, la première composée do sept personnages parmi lesquels figure le Christ; la seconde, de six sujets. La description raisonnéo do cette composition a été donnés par M. l'abbé Bourassé, dans les Mémoires de la Société archéologique de Touraine, t. V, p. 65, 68, et se trouve reproduite, avec un dessin photographique, dans les Recherches sur les églises romanes en Touraine, par le même autour et par M. l'abbé Chevalier (pages 89, 90). Les archéologues considèrent l'église d'Azay-le-Rideau comme un spécimen des plus importants, des plus curieux, pour l'histoire de l'art religieux dans nos contrées, aux sie et xii8 siôclos.
La possession de l'église d'Azay-!e-Rideau par l'abbaye de Cormery fut confirmée par une bulle du pape Innocent II, en date de 1139, et par une autre bulle du pape Alexandre III, datée de 1180. Cette abbaye possédait également le prieuré d'Azay, ot elle avait le droit de présentation au titre curial. Voici les noms de quelques prieurs que nous avons pu rocueillir: Hubert, 1174. – Rivalruus, 1198. Jean, 1338. Eustache de Mailo, 1*19. – Jehan Morin, 1447. Nicole David, 1547. Laurent David, 1559. Raphaël Doraoyera, 1G57. – Jacques Graffin, 1124. Les bâtiments du priouré et leurs dépendances s furent vendus nationalement la 18 avril 1791, au G prix de 28,400 livres. d A la fin du xviii» siècle on comptait sept cha- d pelles dans la paroisse Notre-Dame et Saint- d Blaise des Ponts, Sainte-Barbe, Saint-Claude do q la Clousiôre, et celles de la Loge, de la Ch.Uon- d nière et du château d'Azay. Cotte dernière avait 1 été fondée en 1G24 par Antoinette Baffin, femme r de Guy de Lusignan, décédée le 5 janvier 1629. 1 Le curé d'Azay était tenu de célébrer l'office d doux fois par an à la chapelle de la Clousière à l la fête de saint Claude et le mardi des Rogations. 1 Il devait se rendre en procession à la chapelle de c la Logo, aux Rogations'et le mercredi de Pâques. r Le plus ancien des registres d'état-civil de cette f commune commence en 1594. c Curés d'Azay-le-Rideau. Pierre Martin, I 1441. René Soulas, 1548. Louis Raoul, I 1600. René Bodin, 1020, 1627. – Julien Huhay, 1670. Pierre Taschereau, 1G06. Fran- c cois Guérin, 1725. Jean Tasehereau, 1747. Jean Lupuy, 1775. Dupuy, 1801. Alluaume, 1 1834, 1877. s Azay-le-Ridi'au avait les titres de châtellenie, de prévôté et quinte royale. La ville formait un fief dont le prieur d'Azay était seigneur, et il y avait encore un autre fief appelé la Grande- Dîme d'Azay, qui consistait on rentes et rodevanc «8. Le château, la prévôté et la quinte, constiluaient trois fiefs distincls.
La ville était autrefois fortifiée. A la fin de l'année 1417, on y avait mis une garnison qui obéissait au duc de Bourgogno. Cette garnison ayant insulté le dauphin Charles tandis qu'il se rendait à Chinon avec un corps do troupes, ce prince fit le siège de la place, l'emporta d'assaut et exerça une vengeance épouvantable. Par ses ordres, trois cent cinquante-quatre soldats furent pendus. Le gentilhomme qui commandait la forteresse pour le duc de Bourgogne eut la tète tranchée. A la suite de cette affreuse exécution, on démantela lo château et les fortifications de la ville. Mais quelques années après, los soigneurs châtelains et les habitants réparèrent ces ruines, et, en 1466, les travaux de défense étaient achevés. Le château actuel, situé sur l'Indre, dans un paysage ravissant, est une des oeuvres les plus remarquables de la Renaissance. Commencé par Martin Berthelot, dans les dernières années du xv« siècle, il fut achevé par Gilles Bertholot avant 1524. SEIGNEURSd'Azay-le-Rideau. Eudes, comte de Tours. Il mourut en 995 et fut enterré dans l'abbaye de Marmoutier. Thibaud Il, comte de Tours, fils ainé du précédent. Il mourut on 1004. Eudes II, comte de Tours, frère du précédent. Il mourut le 17 septembre 1037. Thibaud III, comte do Tours, fils aîné de Eudes II, céda Azay au suivant, par suite du traité fait à Loches en 1044. Geoffroy Martel, comte d'Anjou (1044), mort à Angers le 14 novembre 1060. Geoffroy I, dit le Basvribtiiu, scmotmvi tefa /d1e Tours, neveu du précédent (1061). Ridel d'Azay, mentionné dans une charte de Marmoutier de 1119. Ridel d'Azay (appelé aussi Rideau de Rillé), cité, ainsi que son prévôt, Regnaud, dit le Fils-du-Diable, dans une charte de l'abbaye de Turpenay do 1143 et dans un autre titre de 1153. Henri II, roi d'Angleterre, décédé à Chinon la 6 juillet 1189. Jean sans Terre, comte de Glocester et do Mortain, et ensuite roi d'Angleterre. En 1205, les domaines qu'il possédait on France; et parmi lesquels figurait Azay, furent confisqués, pour crime do félonie, par le roi Philippe-Auguste et réuni à la Couronne. Peu do temps après, Azay fut restitué à la famille Ridel, qui en avait été dépouillée par Henri II, roi d'Angleterre. Hugues Ridel, chevalier-banneret, seigneur de Relay et d'Azay, est cité dans des chartes de 1196, 1208-13. Il avait un frère, Geoffroy Ridol, qui fit un voyage à Jérusalem en 1208. En 1290, on rencontre dans des chartes de Marmoutier un Guy d'Azay; mais on ne peut affirmer qu'il ait possédé la terre dont il s'agit. De 1213 à 1350, nous ne trouvons aucun nom do seigneurs d'Azay-le-Rideau, ce qui nous porte à croire que cette seigneurie, après la mort de Hugues Ridel et de son frère, était revenue à la Couronne. Mais à partir du milieu du xiv« sièclu nous n'avons plus de lacune dans la liste de nos châtelains. Jean Le Meingre, dit Boucicaut, maréchal de France, vers 1360. Marguerite de Marmande, dame d'Azay, fille unique de Piorre de Marmande, chevalier, seigneur de Marmande, de La Haye, de Faye-la-Vineuse et de la Roche- Clermault (1379). Jean III, comte de Sancerre, baron de La Haye et de Saint-Michel-sur-'Loire, fils aine de Louis II, connétable de France, devint seigneur d'Azay-le-Rideau (1379), par son mariage avec Marguerite de Marmande, dont il eut deux filles Marguerite et Jeanne de Sancerre. Gérard Chabot V, seigneur de Retz, puis d'Azay, par son mariage avec Marguerite de Sancerre, fille de Jean III. Il était fils de Gérard Chabot, Ve du nom, baron de Retz, et de Philippe Bertrand de Roucheville. Beraud II, comle de Clermont, dauphin d'Auvergne, seigneur d'Azay, par suite de son mariage avec Marguerite de Sancerre, devenue veuve de Gérard Chabot, fit hommage do cette terre ou 1392. Il mourut lo 13 janvier 1399. Jacques de Montberun, maréchal de France, sénéchal d'Angoulême, chambellan du due do Bourgogno, seigneur d'Azay, par son mariage, contracté en 1408, avec Marguerite de Sancerre, veuve do Beraud II, comte de Clermont. De son second mariage, Marguerite de Sancerre avait eu un fils, Beraud III. Elle fit avec lui, lo 22 novembre 1409, un accord, aux termes duquel les terres d'Az.iy ut dû La Haye, rep^.iïpnl A son mari, Jacques do Montberon. Ce dernier mourut en 1422. Peu d'années auparavant il avait été AZA AZA destitué de ses fonctions de maréchal de France et ses biens avaient été confisqués. François de MoiUberon, un des fils du précédent, continua de prendre le titre de seigneur d'Azay-le-Rideau, malgré la confiscation dont cotte terre avait été frappée, et, par acte du 1,7 février 1437, il céda, à Jacques, son frère, tous les droits qu'il prétendait avoir. En 1422, le propriétaire réel d'Azay était, nous ne savons par suites de quelles circonstances, Beraud III de Clermont. Beraud III, comte de Clermont, seigneur d'Azay-le Rideau, vendit cotte terre, le 14 mai 1422, à Jean du Puy du Fou, dit le Gallois, au prix de 1700 moutons d'or. L'acte de vente contenait la clause suivante a Au cas que par abolition générale faite ou à a faire par le roi ou le régent, ou par jugement, a il conviendrait de restituer au seigneur de « Montberon ou aux siens ladite terre d'Azay, le « vendeur no sera tenu qu'à restituer le prix de « vente. » Beraud III mourut le 28 juillet 1426. Jean du Puy du Fou, dit le Gallois, maitre d'hôtel du roi, épousa en premières noces Damiette de Chastelby, veuve de Guyon des Clouaisiores; et en secondes noces Marie d'Auxigny, dont il eut quatre filles Catherine, Georgine, Perrinette et Marguerite II fit son testament le 3 décembre 1441. En U2C, il avait pour capitaine de son château d'Azay, Tristan de la Rivière, écuyer. Jean de Montgommery, seigneur d'Azay-le- Rideau, par suite de son mariage avec Marie d'Auxigny, veuve de Jean du Puy du Fou. Celleci transigea avec François de Montberon qui, pour le prix do 500 6cns d'or, renonça, à son profit, à tous les droits qu'il prétendait avoir sur la terre d'Azay. Elle mourut avant 1446. Fouques de Boisjourdan, Éc. seigneur du Plessis, puis d'Azay-le-Rideau, du chef de sa femme, Catherine du Puy du Fou, fille aînée et principale héritière de Jean du Puy du Fou. Il est mentionné dans des titres do 1466. Jehannel de Boisjourdan, Éc, fils du précédent et de Louise de Cigny, figure, avec la qualification de seigneur d'Azay, dans des pièces de 1492-93. En 1504, il vendit Azay au suivant. Antoine de Loubes, chevalier, seigneur de Jenardoil, de Fontaines et de la Motte (1504), avait épousé Renée de Daillon. Charles de Boisjourdan, fils aîné de Jehannet, fit opposition à la vente consentie par son père au profit d'Antoine de Loubes, et fut autorisé, par sentence du 2 avril 1505, à oxercer le retrait lignager. Nous ignorons si la justice lui donna gain de cause. Toujours est-il que nous le voyons, en 1507 et en Ï50D, prendre la qualification de seigneur d'Azay-le-Rrdoau. Jacques de Bueil, comte de Sancerre, échanson dos rois Charles VIII et Louis XII, est seigneur d'Azay-le-Rideau, du chef de sa femme, Jeanne de Boisjourdan, fille de Fouques de Boisjourdan. Selon toute apparence, Jeanue ne possédait qu'une partie de cette terre. L'autre partie était celle qui fut vendue on 1504, par Jehannet de Boisjourdau à Antuiuu du Loubes. Martin Berthelot, maltro de la chambre aux deniers dos rois Louis XI et Charles VIII, seigneur d'Azay-le-Ridesu. Aucun titre no nous apprend comment ce domaine était venu en sa possession. D'un premier mariage avec Françoise Bernard, nièce de Jean Bernard, archevêque de Tours, il eut une fille, qui épousa Charles Lecoq, président des monnaies, et un fils, Gilles Berthelot. Il mourut vers 1498. A cette époque, sa veuve, Philippe Laurans de Marnez, qu'il. avait épousée en secondes noces, se remaria à Jérôme de Marie. Gilles Berthelot, conseiller, notaire et secrétaire du roi, puis maitre des comptes en 1511, et l'un des trésoriers do France, maire de Tours (1519), est qualifié de seigneur d'Azay-le-Rideau dans un titre du prieuré do Relay de 1498 et dans un autre du 24 avril 1504. Par lettres patentes du 6 avril 1518, le roi lui céda, ainsi qu'à ses successeurs, à titro d'engagement, la prévôté royale d'Azay. Ce fut dans ces conditions que les seigneurs do cette terre continuèrent do jouir de la prévôté, jusqu'au xviii» siècle, ainsi que le constate un acte du 30 août 1760, concernant Armand-Mathurin de Vassé, seigneur d'Azay-le- Rideau. Gilles Berthelot tomba en disgrâce en 1524 et ses biens furent confisqués. Il s'enfuit en Lorraine, où il mourut vers 1530. En 1528, le roi donna la terre d'Azay à Antoine Raffln; mais les formalités qui devaient mettre celui-ci en possession ne furent définitivement remplies qu'en 1534. L'adjudication eut lieu le 22 août de cette année. Antoine flalïin, dit Poton, capitaine de la garde du roi, seigneur d'Azay-le-Rideau, mourut avant 1552. Le 8 avril 1551, il avait fait donation de tous ses biens à François Raffla, sou fils, François Raffîn, seigneur de Pelcavary, sénéchal d'Agénoi's, épousa, en 1553, Nicole Le Roy do Chavigny, et lui donna tous sos biens. Artus de Cossé, comte de Gonnor, maréchal de Franco, gouverneur de Touraine, seigneur d'Azayle- Rideau, du chef de sa femme, Nicole Le Roy, veuve de François Raffln, mourut le 15 janvier 1582. Nicole Le Roy décéda en 1602. Guy de Saint-Gelais de Lusignan de Lansac, chevalier de l'ordro du roi, gouverneur de Brouage et ambassadeur en Pologne, devint seigneur d'Azay par son mariage avec Antoinette Raffln, fille de François Raffin. Artus de Saint-Gelais de Lusignan, marquis de Balon, seigneur de Lansac, conseiller d'État, fils du précédent, épousa, en 1602, Françoise de Souvré, fille is Gilles de Souvré, gouverneur de Touraine et maréchal de France. Gilles de Saint-Gelais de Lusignan, marquis de Balon, fut tué au siége de Dolo lo 30 juillet 1636. Il avait épousé, en premières noces, le Si octobre 1621, Françoise Fouquet, fille de Charles Fouquet, Éc., seigneur de Marsilly, trésorier général de France à Tours, et de Renée Frezeau. De ce premier mariage naquit Marie-Madeleine, mariée à Honri-François do Vassé. En secondes uocoa, il épousa Marie de AZA AZA Fossé, dont il eut Armande, mariée à N. de Créquy. Henri-François de Vassé, capitaine du Plessis-les-Tours, seigneur d'Azay, par son mariage (19 mai 1651) avec Marie-Madeleine de Saint-Gelais, mourut à Azay le 28 avril 1684, âgé de soixante-deux ans environ. Sa femme, qui était décédée le 17 décembre 1079, fut enterrée dans l'église de Saint-Saturnin de Marsilly, au diocèse d'Angers. Louis-Alexandre de Vassé, fils .aîné de Henri-François, épousa, par contrat du 27 juillet 1682, Louise de Crevant d'Humières, flllo do Louis de Crevant d'Humières, maréchal de France, et de Louise-Antoinette-Thérèse de la Châtre. Il mourut avant le 27 octobre 1684. Henri de Béringhen, seigneur d'Armainvilliers et de Grez, gouverneur de la citadelle de Marseille, décédé le 30 avril 1692. Jacques-Louis de Béringhen, fils du précédent, comte de Châteauneuf et du Plessis-Bertrand, directeur général des ponts et chaussées (1692). Emmanuel-Armand, marquis de Vassé, brigadier des armées du roi, né en 1683, épousa, le 11 juillet 1701, Anne- Bonignc-Fare-Thêrèse de Béringhen, fille de Jacques-Louis de Béringhen. Il mourut le 30 avril 1710. Armand-Mathurin da Vassé, vidame du Mans, maréchal des camps et armées du roi, baron de la Roche-Mabille et de la Touche d'Avrigny, est qualifié de seigneur de la ville et prévôté quinte royale d'Azay-le-Rideau, et de gouverneur du Plessis-les-Tours dans un acte du 30 août 1770. Il épousa Louise-Madeleine de Pezé. Alexis-Jean-Baptiste Le Mayre, marquis de Courtemanche, est qualifié de seigneur d'Azayle- Rideau dans un titre de 1772. Mais par un autre titre du 20 novembre 1774, provenant du prieuré de Relay, nous voyons que. le domaine appartenait, indivis, à Adélaïde-Euphémie-Geneviève de Vassé, sa femme, non commune en biens, avec lui, et à Agathe-Mathurine-Anne de Vassé, toutes deux filles d'Armand-Mathurin de Yassé. Henri-Alexis-Charles Le Mayre de Courtemanche, lieutenant au régiment Dauphincavalerie, fils unique des précédents. Le 27 septembre 1791, étant encore mineur, il vendit la seigneurie d'Azay à Charles de Biencourt, avec promesse de ratifier la venta à sa majorité qui arriverait le 24 janvier 1794. Avant la rédaction du contrat, il avait affranchi le domaine de tous les droits de lods et ventes et droits casuels envers différents seigneurs et envers le Directoire do Tours qui représentait les anciennes seigneuries ecclésiastiques. Charles de Biencourt, marquis de Biencourt, seigneur d'Azay-le-Rideau, Masfame, Ayen, etc., maréchal des camps et armôos du roi, chevalier de Saint-Louis, né le 7 novembre 1747, fils de François de Biencourt, chevalier, seigneur du la ForliLsso et du Moutior-ÏIalcar, et de Marie-Perrette du Bouex de Villemort, épousa, par contrat des t5-18 juillet 1770, Marie-Jeanne, fille de Jacques Bernard de Chauvelin, conseiller d'État. Il mourut en 1825. Lo château d'Azay-le-Rideau passa à son fils, Armand- François-Marie, marquis de Biencourt, né au château de. Masfame, le 12 février 1773, décédé en 1854, puis à son petit-fils, qui le possède aujourd'hui (1877). En 1837, on a découvert dans le voisinage du château les restes d'une villa romaine. Ces curieux débris ont été signalés, l'année suivante, à la Société française pour la conservation des monuments historiques, dans sa session générale tenue à Tours. Une description par M. Massé en a été donnée dans los Mémoires de la Société archéologique, t. V. Le château et l'église d'Azay-le-Rideau ont été classés parmi les monuments historiques du département d'Indre-et-Loire. Les armes de la ville d'Azay-le-Rideau sont d'azur à trois aigles d'or. Maires d'Azay-le-Rideau. Godineau, 1778- 82. Châtelain, 180t, 29 décembre 1807. Charles, marquis de Biencourt, 14 décembre 1812. – Armand-François-Mario, marquis de Biencourt, officier supérieur de la maison du roi, lieutenant-colonel do cavalerie, 1825. Pigou, ancien receveur de l'enregistrement, nommé le 5 septembre 1830, 17 novembre 1834, 1" juin 1837, juin 1840. Hilaire Chesneau, 1842, 8 août 1846. Manger, 1851. Jules Vaissier, 1870, mai 1871. Lemaire, 22 février 1874. Le marquis de Biencourt, 187C. Arch. d'I.-et-L., titres du prieuré de Relay, de Foncher et des Minimes du Plessis; Inventaire des titres de l'abbaye de Benumont, C, 654; E, 146; G, 14, 16; Biens nationaux. – Cartul. de l'archev. de Tours. Liber. stat. eccles. Tur. Cartul. de Cormery, 75, 76, 80, 96, 118, 120, 133, 143, 218, 231, 252, 266. Arch. de la Vienne, D, 169.-D. Hous., II, 493; V, 1681, 1698 XIV, XXX. Liber de servis, 182. Bibt. de Tours, fonds Salmon, Paroisses et familles de Touraine, I; titres de Marmoutier, III. Rôle des fiefs de Touraine. Bibl. de Rouen, Hist. de la maison du Puy du Fou. Bétancourt, Noms féodaux, II, 693, 970. Cartulaire de Philippe-Auguste, Dibl. nationale. Monanier, I, 118. – Arrêt du conseil sup. de Blois, 1772, imprimé. Pouillé général des abbayes de France, 1626 (Bibl. de Rouen, n» 2055). Génd ralitéde Tours, manuacrit. (même bibl.), coll. Leber,5793. Pouillé de l'archev. de Tours, 1048. – P. Anselme, Hist. génial, de la maison de France, II, 852, 853; IV, 322; VII, 16, 851; VIII, 52, 251, 903; IX, 38, 66, 228, 292. Duchesne, Hist. de la maison de Chàteigner, 313. D. Fonteneau, manuscrite, XXV, 63. Bibl. nationale, Gaignères, 678. Saint-Allais, Diction, de la noblesse, XIV. Lalanne, Hist. de Chàtelkrault, I, 337. Goyet, Nobil. de Touraine, manuscrit. L'abbé C. Chevalier, La ville d'Azay-le-Rideau aux xv» et ivi» siècles (dans le Bulletin de la Société archéologique de Touraine, 1873). -Même anteur, Promenades pittoresques en Touraine, 336 et suivantes. Mém. de la Soc. archéol. de Tour., IV, 50 V, 65 et suiv. X, 189. J. Loiseleur, Étudea sur Gilles Berthelot (dans les Mém. de la Soc. archéol. de Tour., XI, 180-2U9. J.-J. Bourassé et C. Chevalier, Recherches sur les églises romanes en Touraine, 89 (notice sur l'église d'Azay, et dessin représentant la façade). Bulletin de la Soc. archéol. de Tour., année 1873, p. 372; année 1875, p. 292. La Touraine, publiée par AZA AZA M. Marne.(Noticesur le château d'Alay, avec gravure.)- B. Mabille,Notice sur les divisions territoriales -de Vancienne province de Touraine, 26, 210. De Cougoy, ~E.tNcucrMsior&u t'o~ennn T?'oout[rraci!n'nee eft etnt ~Poti~toouM, ,2539. – -AAl~mnatMnafcthcA de Touraine, 1778-S2. Mém. de Miromenil (dans tle Diction. top. du diocèse du Mans, par Le Paige), XXIV. Panorama pittoresque de la France (département d'Indre-et-Loire), H. – C. Chevalier, Diane de Poitiers ait conseil du roi, XXV. – Noël, Souvenirs pittoresques de la Touraine (notice sur le château d'Azay, avec dessin). Bruzen de la Martinière, Diction, géographique, I, 320. Piganiol de la Force, Description de la France, VI, 93. Expilly, Diction. des Gaules, Il 421. Recueil des actes administratifs d'Indre-et-Loire, 1838. Chalmel, Hist. de Tour., II, 107, 135, 181 III, 25. Bibl. de Tours, fonds Lambron, manuscrit 1496. S. Bellanger, La Touraine ancienne et moderne, 521. A. Joanne, Géographie d'Indre-et-Loire, 88, 94. Notes communiquées par M. l'abbé Chevalier. -Beauchet-Filleau, Diction. des familles de l'ancien Poitou, I, 415 H, 332. | |
| | | p3r3v3rt de loches Gaspode en errance
Nombre de messages : 42 Date d'inscription : 28/12/2008
| Sujet: Re: [Duché RR] Azay le Ridel Ven 18 Juin - 17:19 | |
| Le fief est noté a définir, hors il est un Duché de retraite rr, j'ai également mis les seigneuries rr octroyées et le nom des seigneurs.HéraldismeFief Duché Description du Blason : d'Azur aux trois aigles d'or . Ancien nom : Azay le brulé, Azay le rideau Devise : - Actuel Seigneur : Barbe_Noir Ancien Seigneur : - Nom des habitants : Seigneuries historiques : - Gerfaut (à Azay)
- Javesnon (à Azay)
- La Rémonière, (à Azay)
- Goupillières ou Les Caves-Brunes, (à Azay)
- Meschinières, (à Azay)
Seigneuries RR octroyées : - Gerfaut (à Azay) Linexiv
- La Rémonière, (à Azay) Ellana
- Goupillières ou Les Caves-Brunes, (à Azay) Shyppy du Val de Loire
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| | | Felian Publivore
Nombre de messages : 89 Age : 38 Localisation : Loches Titre nobiliaire : Seigneur de Saint-Nazaire de Ladarez Date d'inscription : 03/11/2008
| Sujet: Re: [Duché RR] Azay le Ridel Lun 30 Avr - 20:25 | |
| - Citation :
- Geoffrey, fils de Rolland de Bourgueil et de Lydie, Duc de Bourgueil.
- Mattane, deuxième Duc de Touraine a écrit:
- Moi, Mattane, Duc de Touraine elevons au titre de Vi-comte, Vicomtesse et Baron, Baronne les personnes cités pour leur travail effectuer au conseil comme me le confere le droit en vigueur
- Trinity recoit les terres de Montrésor et le titre de Vicomtesse
- Boubou recoit les terres de Langeais et le titre de Vicomtesse
- Fnor recoit les terres de Montbazon et le titre de Vicomte
- Adric recoit les terres de Villandry et le titre de Baron
- Jason recoit les terres de Sainte Maure et le titre de Baron
- Zygomar recoit les terres d'Azay-le-Rideau et le titre de Baron
- Aymeric recoit les terres de Montrichard et le titre de Baron
- Whell recoit les terres de Preuilly et le titre de Baron
- Morgwen recoit les terres de Vouvray et le titre de Baronne
Fait à Tours en l’an de grâce 1453 le 6 septembre Mattane Duc de Touraine le Duc apposa le sceau ducale | |
| | | Felian Publivore
Nombre de messages : 89 Age : 38 Localisation : Loches Titre nobiliaire : Seigneur de Saint-Nazaire de Ladarez Date d'inscription : 03/11/2008
| Sujet: Re: [Duché RR] Azay le Ridel Lun 30 Avr - 20:29 | |
| - Fnor, Régent de Touraine a écrit:
- Nous, Fnor, Régent de Touraine, avons déchu les nobles suivant, en accord avec le droit en vigueur :
Whell, Baron de Preuilly se voit déchu de son titre de baron et de la baronnie de Preuilly.
Zygomar, Baron d’Azay-le-Rideau se voit déchu de son titre de baron et privé de la baronnie d’Azay-le-Rideau.
Fait à Tours le 13 du mois d'octobre 1453
Le Régent apposa le sceau ducal | |
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| Sujet: Re: [Duché RR] Azay le Ridel | |
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| | | | [Duché RR] Azay le Ridel | |
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